Le frère caché du chancelier allemand brise enfin la glace
Dans une interview exclusive accordée au prestigieux magazine « Der Haarschpiegel » (Le Miroir Capillaire), Olaf Shveux, le frère méconnu du chancelier allemand, a décidé de lever le voile sur une histoire familiale pour le moins… décoiffante.
Contrairement à son frère Olaf Scholz, dont le crâne lisse fait la fierté des fabricants de cirage, Olaf Shveux arbore une chevelure digne des plus grandes stars du heavy metal allemand. « Dans la famille, on a toujours dit que l’un de nous deux avait pris tous les cheveux », confie-t-il avec un sourire énigmatique.
Ancien mineur de profession, Olaf Shveux raconte comment sa carrière souterraine a débuté : « Quand on a les cheveux longs en Allemagne, on vous propose soit de devenir guitariste de Rammstein, soit de travailler dans les mines. Comme je chante faux, le choix était vite fait. »
Sa spécialité ? L’extraction du charbon capillaire, un minerai rare qu’il aurait découvert et qui serait, selon ses dires, « aussi noir que les cheveux que mon frère n’a pas ». Cette découverte lui aurait valu le surnom de « Rapuntzel des profondeurs » auprès de ses collègues mineurs.
Les relations avec son frère chancelier sont… complexes. « Lors des réunions de famille, il insiste toujours pour que je mette un bonnet. Il dit que mes cheveux perturbent les négociations avec le FMI », soupire-t-il. « Une fois, il m’a même accusé d’être responsable du réchauffement climatique, prétextant que ma chevelure captait trop d’énergie solaire. »
Olaf Shveux révèle également avoir été approché plusieurs fois par le gouvernement allemand pour des missions secrètes. « Ils voulaient utiliser mes cheveux comme source d’énergie alternative. Imaginez : ‘Les cheveux d’Olaf Shveux, l’avenir énergétique de l’Allemagne’. J’ai refusé, bien sûr. Je ne suis pas un écureuil de centrale électrique. »
Son plus grand regret ? Ne pas avoir pu convaincre son frère d’essayer les extensions capillaires. « Je lui ai dit que ça pourrait améliorer les relations franco-allemandes. Après tout, avoir des cheveux, c’est très français », plaisante-t-il.
Aujourd’hui reconverti dans la production de shampooing écologique pour mineurs de fond (« Pour des galeries minières qui brillent autant que le crâne de mon frère »), Olaf Shveux garde un œil attentif sur la politique allemande. « Quand je vois mon frère à la télévision, je ne peux m’empêcher de penser qu’avec une queue de cheval, les sondages seraient meilleurs », analyse-t-il.
Pour l’avenir, il nourrit un projet ambitieux : ouvrir le premier salon de coiffure souterrain d’Europe. « Je l’appellerai ‘Chez les Frères Olaf – Un pour tous, des touffes pour un' », annonce-t-il fièrement. « Mon frère pourra venir quand il veut, on lui fera prix d’ami sur les perruques. »
L’interview se termine sur une note philosophique : « Dans la vie comme en politique, il faut savoir garder les cheveux longs et les idées courtes. Ou l’inverse, comme mon frère. »
Le bureau du chancelier Scholz n’a pas souhaité commenter cette interview, se contentant de préciser que « la politique capillaire de l’Allemagne reste inchangée ».