« Mes adversaires ont le mal de mer », confie Séverine Pako

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Portrait d’une capitaine de barque insoumise aux éléments

Dans les eaux tumultueuses de l’opposition, une nouvelle figure émerge : Séverine Pako, dont le nom prédestiné semble l’avoir naturellement portée vers une carrière politique mouvementée. Pourtant, celle qui se définit comme « écologiste des cours d’eau parlementaires » préfère la barque aux grands navires, « plus proche du peuple et moins gourmande en carburant », précise-t-elle.

« Quand on est dans l’opposition, il faut ramer, c’est certain », explique-t-elle en ajustant son gilet de sauvetage tricolore. « Mais au moins, on avance à la force des bras, pas comme ces grands yachts gouvernementaux qui polluent nos institutions. »

Son style bien particulier de navigation politique ne laisse personne indifférent. Ses interventions à l’Assemblée, qu’elle qualifie de « coups de rame énergiques », font souvent des vagues jusqu’aux bancs de la majorité. « Certains me reprochent de faire tanguer le bateau parlementaire, mais n’est-ce pas le rôle de l’opposition de secouer un peu les eaux dormantes de la démocratie ? »

Sa technique particulière de « navigation contestataire » consiste à ramer à contre-courant, créant des remous qui, selon elle, « réveillent les poissons endormis du système ». Une méthode qui ne fait pas l’unanimité, mais qu’elle assume pleinement : « Dans la tempête sociale actuelle, il faut savoir faire du bruit pour se faire entendre ».

Ses détracteurs lui reprochent parfois de « prendre l’eau » dans ses argumentaires, ce à quoi elle répond avec philosophie : « Même les meilleures barques prennent l’eau de temps en temps. L’important c’est d’avoir une bonne écope… et des idées pour écoper. »

Son groupe parlementaire, qu’elle surnomme « La Flotille Insurgée », est connu pour ses techniques de navigation peu conventionnelles. « Nous préférons les radeaux de fortune aux yachts de luxe », explique-t-elle, « car ils nous permettent de rester au plus près des préoccupations du peuple qui se noie dans les fins de mois difficiles ».

Son dernier projet ? Une proposition de loi pour « rééquilibrer les flux maritimes de la République ». « Il y a trop de paquebots de luxe dans notre démocratie », argumente-t-elle, « il est temps de donner leur chance aux petites embarcations populaires ».

Ses réunions politiques, qu’elle organise sur les berges de la Seine, attirent une foule bigarrée de « rameurs de la République » comme elle les appelle. « Nous sommes tous dans le même bateau », aime-t-elle répéter, « même si certains rament plus que d’autres ».

Pour l’avenir, Séverine Pako reste optimiste : « Les tempêtes politiques finissent toujours par se calmer. L’important c’est de garder le cap et de ne pas chavirer dans le conformisme. » Et d’ajouter avec un sourire : « Et puis, vous savez, quand on a pris l’habitude de ramer, on développe des bras solides pour porter nos convictions. »

En attendant les prochaines échéances électorales, celle que ses partisans surnomment affectueusement « La Capitaine du Peuple » continue de naviguer dans les eaux troubles de la politique française, prouvant que même avec une simple barque, on peut faire entendre sa voix… pourvu qu’on sache bien manier les rames.

Note de la rédaction : Aucun gilet de sauvetage n’a été maltraité durant la rédaction de cet article.

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